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journal d'un pute
5 février 2008

Episode 2...

logo_edAprès 2 jours passés avec un jeune homme adorable je reviens dans mon appartement, dans mon grand lit froid, retrouver le bruit incessant de ma rue et mon frigo vide… « merde il faut y aller »

Je prend donc mon courage sur mon dos et je vais dans l’antre de la surprise permanente, le magasin ED d’en bas…

J’arrive a moins de 5 metres de la porte automatique qu’un 1er « Gaulois » attire mon attention, il s’appretais a entrer quand un couple d’amoureux manque de le heurté, mais Bob (il a ce magnifique chapeau vissé sur sa tete) s’adresse aux jeune couple « éhéhéh entrez donc… ca vous fera une sortie !!! hein !? éhéh ». Je ne suis pas encore entré que le ton est une nouvelle fois donné, Bob est encore plus fort que Maurice (voir l’épisode 1).

J’attend 2 minutes dehors, histoire de me remettre de cette vanne si… pourri, mais qui m’aura beaucoup fait rire grace a l’interpretation de bob qui pensais tellement être drôle qu’au final il l’a été, mais je n’étais pas au bout de mes surprises…

Les spécimen humain du mardi après midi sont différents du dimanche matin. Ils sont plus jeunes, moins bavards, ormis Bob et ses grandes oreilles recourbées sous son… bob… (je m’adapte), les spécimens du mardi après-midi sont pressés, ca change des vieux qui tapent la causette au detour du rayon de sacs poubelle.

Oh miracle, alors que j’arrive face a la salade en sechet mon regard s’arrete sur LE « bogoss caillera » le typique, le vrai, avec son survet’ blanc nike, ses nike blanches et sa casquette… noire… cherchez l’erreur. Un vrai beau mec muni de charme évident, ce petit coté dure de la caillera qui cache un mec timide en fait, je le vois lorsque nos regards se croisent, aucune agressivité mais de la douceur et une grande timidité cachée derriere… vraiment charmant (sauf les fringues).

Le joli moment ne dure pas je passe au rayon huiles/vinaigres/épices/bières (ne cherchez pas de cohérence chez ED, par contre on y trouve de la cohérence avec les clients puisque devant ce linéaire « biérique » se présente une sorte d’Herbert Léonard qui aurai mal vieilli, la peau du visage boursoufflée et voilacée, laissant même apparaitre de gros cratères sur le haut des joues et du nez, c’est limite crade.

Je tourne la tête et c’est un autre beau mec qui viens de passer dans le rayon suivant, il faut que je sache… ah non en fait c’est un ado, grand, bien bati ok, mais il sera beau un jour… quand il aura conjuré sa face de calculatrice scientifique.

Revoila mon Bob qui discute avec une « metteuse en rayon », je n’ai pas entendu sa nouvelle vanne mais j’entend le plus drôle « bah faut bien rire hein ? » c’est dire sila vanne devais être drole car la fille lui repond un « c’est clair » d’une froideur à enrhumer un esquimot. Bob se retire, l’oreille basse, tel un baudet qui n’a pas eu sa carotte.

Je termine le remplissage de mon panier gourmand a bas prix et je me retrouve en caisse avec… Bob… encore et toujours Bob mais cette fois, pas de vanne, le rigolo de service a décidé de changer de registre apparement (grand bien lui fasse) « je suis rital et je reste… » Bob (dit l’ane) à décidé de chanter (éh merde), je dois supporter cette chanson de claude barzotti jusqu’au paiement de ses victuailles, en éspèce, et il tiens a donner la somme exacte… prenant tout son temps a l’unique caisse de la superette ne faisant aucun cas des 8 clients qui attendent avec la même envie commune de sauter sur son porte monnaie pour l’aider et surtout de lui demander de fermer sa gueule de con avec sa chanson de MEEEEEEEEEERRRRRRRRDDDDDEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE…

Ah ca détend…

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