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journal d'un pute
17 février 2008

Qu'il est calme ce week end, je l'ai souhaité

Qu'il est calme ce week end, je l'ai souhaité ainsi, après une semaine de presque chômage technique car mon "chef d'orchestre" ne met jamais le nez, les mains, ou son minuscule outil dans mon intimité (il ne pourrai pas atteindre l'entrée de toute façon !!)

Je l'ai vu mercredi matin à 10h... 10h du matin à Paris... Je devais le voir lundi soir mais l'homme devais repousser pour rester avec bobonne et me propose cet horaire... Il est évident que je n'allais pas me taper 2h de trajet en voiture dans les bouchons alors que le soir je met 3 fois moins de temps sans une compensation. Je lui dit et il me propose spontanément de me payer 450 euro au lieu de 300, c'est bien joué, je ferme ma gueule de péteux et j'accepte sans discuter.

Je me rend au rendez-vous, je suis a l'heure devant l'hôtel luxueux où il me reçois habituellement, il est déjà là et m'indique qu'on va aller dans un autre hôtel... Dans la rue perpendiculaire se trouve un pseudo hôtel, beaucoup moins classe, voir carrément glauque, l'hôtel de passe basic, le premier de ma vie d'escort et je prend conscience qu'à ce moment là, je suis bien un pute et pas un escortboy

La chambre est sombre, le papier peint des années 70 me pique les yeux avec ses couleurs criardes, c'est fout comme le moche tiens même avec le poids des années, les décos d'M6 devraient durer avec le temps...

L'ambiance est pesante, est-ce le fait d'avoir très peu dormi sur un canapé convertible approximatif? Je ne sais pas mais je n'ai qu'une envie : en finir vite!
Sans un mot il m'attache les mains dans le dos avec une corde, me passe un tissus sur la bouche pour me bâillonner et me bande les yeux. Comme d'habitude il commence habillé et frotte son entre-jambes contre ma main, doucement, trop doucement... Ma main se referme sur son petit machin, il ne tarde pas a respirer plus rapidement et a expulser ce petit râle de jouissance qu'il m'envoie dans le tympan droit, heureusement que j'en ai un autre car celui ci est désormais hors-service...

Il retire ses fringues, me liber de mes entraves, me déshabille aussi puis une fois nu, se câline en se frottant contre moi, cherchant à faire monter en moi l'excitation ainsi que mon membre (cherche toujours mon con!!) Je plonge dans mes pensées et mon excitation ne tard pas a faire dresser l'objet de son désir. Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi il cherche a faire grimper mon sexe puisqu'il ne s'en sers jamais...

baillonIl me met un nouveau bâillon, en cuir cette fois et doté d'une boule, placé dans la bouche (pourquoi pas...pfff), la corde revient sur mes mains mais devant moi cette fois. Il continu a se frotter a moi, s'attarde sur mes extrémités pectorales (m'en fout je ne sens rien), il s'excite tel un chien contre la jambe de son maitre... je m'ennuie fermement et je m'active de nouveau sur son humide... il jouira encore 2 fois avant la fin de la première heure et se dirigera ensuite sous la douche. J'ai pris le relais sans cette salle de bain insalubre puis nous nous sommes dirigés vers le café du coin et la seconde heure a été consacré a la discution, je suis redevenu un escortboy... ouf je suis sauvé...

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